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verargues

  • Réunion des opposants à la fusion des communes sans concertation des populations

    Rouleau compresseur 1

    Parce que de très nombreux habitants des trois communes concernées ne souhaitent pas de cette fusion coûteuse, inutile, sans consultation de la population et forcément amenée à servir des ambitions ou des intérêts de quelques personnes, un rendez-vous est fixé mardi 26 juin à 19h00 à Vérargues chez Monsieur Valette, rue du stade. (1ere maison après le terrain de tennis).

    Les habitants de toutes les communes concernées sont invités à venir à cette réunion afin de faire grossir le collectif déjà en place.

    Il ne s'agit pas d'une réunion politique, mais d'une réunion de défense du respect de l'existence de nos villages dont les anciens nous ont donné les clés et qui pourraient disparaître.

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  • A.G des pélicans citoyens, des inquiétudes sur la fusion

    Ag pelicans 2018 blog

    Petite pause gourmande après la réunion.

    Vendredi 23 février, l’association des pélicans citoyens organisait son assemblée générale salle Sainte Arige. Cette association a pour but de promouvoir la mémoire du patrimoine local et l’amélioration de l’environnement du village.

    Le rapport d’activité présenté par la présidente, Isabelle de Boisseson a fait l’inventaire des animations et actions proposées durant la saison 2017.

    Si le vide grenier n’a pas eu le succès escompté en termes de participation, par contre l’exposition de photographies anciennes du village a été un grand succès, notamment grâce à l’implication des enfants du regroupement scolaire, ce qui a fait venir beaucoup de parents en plus des anciens et nouveaux habitants de la commune.

    L’édition du livret « Saint-Sériès hier et aujourd’hui » a permis la vente de 170 exemplaires et la participation à la journée des associations a donné quelques inscriptions.

    La matinée nettoyage des abords de la commune laisse apparaître la difficulté à fédérer les habitants autour de la cause environnementale et cette fois encore, ce sont les membres de l’association qui ont fourni la majorité du quota de bras lors de cette opération annuelle qui améliore pourtant l’image et le bien vivre de tous.

    Le rapport financier est positif, notamment grâce à la vente des livrets.

    L’élection du bureau a ensuite eu lieu, désignant Isabelle de Boisseson comme présidente, Lydie Schenck, trésorière et Vincent Lardet, secrétaire.

    Coté projets, la saison 2018 verra quelques modifications dans le déroulement du vide-grenier afin de le rendre plus attractif et une journée course au trésor pourrait être créée.

    Au niveau de l’embellissement de la commune, il y a des discussions avec la mairie pour permettre la mise en place de bacs à végétaux devant les maisons d’habitants volontaires qui s’engageraient simplement à en assurer l’arrosage régulier.

    Le projet de fusion de communes a ensuite été abordé. Association comme personnes présentes à cette réunion s’inquiètent sur le procédé actuellement développé par les quatre municipalités qui ne donnent aucune information réelle et précise aux habitants sur les commissions qui se déroulent chaque semaine.

    S’il est compréhensible qu’en début de tractations, le projet soit encore un peu flou pour tout le monde, ils craignent que les populations ne soient jamais consultées durant ces discussions et que l’ensemble des habitants soit mis devant le fait accompli une fois que tout aura été décidé sans l’aval des citoyens, pourtant principaux intéressés par cette opération.

    A ce sujet, l’association a décidé de rechercher dans les trois autres communes des groupes de personnes ayant les mêmes craintes afin de créer un comité de vigilance citoyenne indépendant des municipalités et dont le but serait de rendre publiques les informations, positives comme négatives, du projet. Pour eux, le regroupement des quatre communes semble quelque peu démesuré par rapport à un rapprochement Saint-Sériès / Saturargues d’un coté et Saint-Christol / Vérargues de l’autre.

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  • 4 jours ou 4 jours et demi en septembre pour les élèves du secteur ?

    Reunion 4jours blog

    Julien Nogaret a exposé les différentes possibilités.

     

    Jeudi 11 janvier, Julien Nogaret, président du SIVOM enfance et jeunesse des communes de Saint-Sériès, Saturargues, Vérargues et Villetelle, avait convié les parents d’élèves du regroupement scolaire pour une réunion d’information concernant un retour éventuel à la semaine scolaire sur 4 jours dès la rentrée prochaine.

    Les maires ou représentants des quatre communes étaient présents, quelques enseignants ainsi qu’une cinquantaine de parents.

    Après avoir retracé l’action du syndicat et fait un tour d’horizon sur le fonctionnement actuel des accueils proposés aux enfants après la classe, Julien Nogaret a exposé les différentes possibilités qu’offrent désormais le décret « Blanquer », du nom du ministre, en terme de dérogations sur l’étalement de la durée hebdomadaire scolaire qui reste toujours officiellement de quatre jours et demi.

    Dans le cas précis du regroupement local, une récente enquête a montré que près de 85% des parents étaient satisfaits du fonctionnement actuel des TAP (temps d’activité périscolaire).

    Le président du SIVOM n’a pas caché la préférence du syndicat à un maintien du système sur quatre jours et demi pour des raisons d’ordre pédagogique et financières, mais a précisé que la décision finale sera avant tout liée au résultat du vote référendum qui sera réalisé auprès de l’ensemble des parents d’élèves.

    Julien Nogaret à indiqué qu’un passage à la semaine sur quatre jours impliquerait d’importantes dépenses supplémentaires (de l’ordre de 90000 euros) qu’il faudrait certainement répercuter sur la part payée par les parents dont les enfants continueraient à fréquenter les TAP.

    Ce coût supplémentaire est dû à la modification de la règle du nombre maximum d’enfants pris en charge par chaque intervenant ainsi qu’à la perte de toutes les aides financières des collectivités en cas de dérogation sur quatre jours. En effet, sur quatre jours et demi, il faut un intervenant pour 16 enfants alors que sur quatre jours, la loi impose un intervenant pour 12 enfants, ce qui implique des embauches de personnels supplémentaires.

    Les parents d’élèves ont ensuite eu la possibilité de poser toutes sortes de questions afin de prendre leur décision, la plus éclairée possible, lors du vote qui sera bientôt proposé par l’intermédiaire des bulletins de liaison des enfants.

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